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Cette fois je vous propose un petit reportage photo dans les entrailles d'un Foxtrot soviétique similaire aux submersibles qui ont assuré le coup face aux Américains lors de la fameuse crise des missiles de Cuba, un des épisodes les plus chauds de la guerre froide.
A l'époque, j'étais muni de mon petit Fuji FinePix2800ZOOM - la qualité des images n'est pas celle d'appareils d'aujourd'hui, même s'il se débrouillait très bien ce petit père
FX-01
Un peu de lecture pour commencer, histoire de bien comprendre ce que vous allez voir dans la suite
Caractéristiques générales : (Wiki)
Le concept des sous-marins de la classe Foxtrot a été développé dès 1953 à partir des expériences et données de la construction navale allemande, tombées dans les mains russes après la capitulation de l'Allemagne. Les sous-marins de ce type ont été mis en chantier entre 1954 et 1981. Le premier prototype portant le numéro Projet 641 fut lancé le 28 décembre 1957 sur les chantiers de Sudomekh à Saint-Pétersbourg.
Les sous-marins de la classe Foxtrot étaient en mesure d'opérer sans interruption à grande profondeur durant 4 jours. Ensuite, ils étaient contraints de remonter jusqu'à 7 m, profondeur permettant l'utilisation du schnorchel afin de renouveler l'air et de recharger les générateurs et batteries. A ce moment les sous-marins étaient facilement détectables. Les sous-marins restaient normalement en mer durant 90 jours, ensuite ils devaient subir une révision d'entretien.
Le Foxtrot pouvait embarquer 22 torpilles : 18 à l'avant et 4 à l'arrière. Les torpilles pouvaient être remplacées par 44 mines navales. Les tubes de lancement des torpilles étaient utilisés pour la mise en place des mines. Une cargaison combinée de mines et de torpilles était possible également.
(Rajout perso : Habituellement lors de la guerre froide, l'emport de 1 voire 2 torpilles à têtes nucléaires était la règle. Les américains ne l'ont compris qu'après la fin de la crise, réalisant à quel catastrophe ils ont échappé lorsqu'ils forcaient les submersibles soviétiques à faire surface en les traquant sans relâche et en faisant plusieurs tentatives avec leurs destroyers pour endommager ou plier le schnorchel des popoffs et donc les obliger à se montrer en surface, au risque de les éperonner et de les couper en deux et donc signer l'entrée en guerre des deux super-puissances atomiques).
L'équipage comptait 75 hommes, soit 12 officiers, 12 sous-officiers, un commissaire politique et 50 matelots.
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Longueur : 89,9 m
Maître-bau : 7,4 m
Tirant d'eau : 5,9 m
Déplacement : 1 952 tonnes (surface), 2 475 tonnes (plongée)
Moteurs Diesel : 3 x 2000 hp
Moteurs élec. : 2x1350 hp, 1x 2700 hp
Vitesse 15 nœuds (surface), 14 (plongée), 9 (schnorchel)
Profondeur 246 - 296 mètres
Caractéristiques militaires :
Armement 6 tubes à l'avant, 4 à l'arrière, 22 torpilles max.
Rayon d'action 20 000 milles en surface à 8 nœuds
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Prenez votre respiration - on va plonger à l'intérieur.......
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On entre par le sas torpille arrière, directement dans le poste torpille.
Dès que l'on disparait à l'intérieur de la coque, l'odeur typique des sous-marins diesels est présente : mélange de gasoil, d'acide des batteries, de moisissure humide à cause de la condensation sur les parois de la coque épaisse et des inévitables suintements des presse-étoupes, huile hydraulique chaude...... et présence humaine dans un local mal ventilé. Même après avoir été désarmé depuis plusieurs années, ça "sent encore la patrouille" !
FX-04 - les 4 tubes de lancement arrière, et sur les côté des structures permettant d'accueillir des banettes pour l'équipage, au milieu des torpilles de réserve qui ne sont évidemment plus dans le compartiment.
FX-05 - les portes épaisses des tubes, avec toutes les clarinettes du système de lancement : air comprimé pour la chasse, noyage et vidange/compensation des tubes, et au plafond une partie de tuyauterie des caisses de réglages et des évents de ballasts.
FX-06 - Dans le dos, la cloison étanche du compartiment dégagé de ses auxiliaires pour faciliter la visite. A partir de maintenant, on va regarder vers l'avant du submersible au fur et à mesure qu'on va progresser dans les divers compartiments.
A propos, vous êtes souples ?
...
Dernière modification par Sylvain V (23-08-2010 14:48:53)
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Hé oui, pas mal du tout pour un vieux 2 Mp ... dire qu'à l'époque x6 c'était un "super-zoom" (Fuji a toujours fait des engins de qualité, sauf série J assez basique, bizarre qu'ils soient pas plus en tête des ventes)
La 3 pour moi
90 mètres de long ... c'est énorme ces engins
Mais je t'en prie, passe devant, je préfère pas m'accroupir avec ton avatar dans mon dos
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Voilà un reportage qu'il est bon et agréable à regarder !
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gnomish a écrit:
Mais je t'en prie, passe devant, je préfère pas m'accroupir avec ton avatar dans mon dos
Rhôôôôô............... tu refiles des avatars et puis après t'assumes pas les conséquences
Je suis souple et claustrophobe, vas-y tout seul Sylvain
sylvain a écrit:
.............qui ont assuré le coup face aux Américains lors de la fameuse crise des missiles de Cuba, un des épisodes les plus chauds de la guerre froide.
A l'époque, j'étais muni de mon petit Fuji FinePix2800ZOOM -
Ah ? tu fais encore assez jeune finalement
isatis qu'a envie de déc..... ce soir
Dernière modification par isatis (23-08-2010 18:25:08)
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gnomish a écrit:
Mais je t'en prie, passe devant, je préfère pas m'accroupir avec ton avatar dans mon dos
Da ! Toi avoir reconnu Boris Ivanov, le Piston Ravageur de la Caspienne.
Viens voir beau sous-marin - Boris va te montrer sa torpille.....
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gnomish a écrit:
90 mètres de long ... c'est énorme ces engins
Celui ci est grand pour un "classique" diesel, mais minus comparé aux monstres à propulsion nucléaire qui vont jusqu'à 100.000 tonnes et plus de 200.00m de long.
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On continue la visite, et on passe la porte étanche entre poste torpille arr. et compartiment des électriques.
Porte étanche d'une cloison résistante à la pression maxi d'immersion, donc petite, bombée et munie de nombreux taquets de verrouillages (les "chiens").
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On tombe nez à nez à avec les volants de contrôles des 3 moteurs électriques situés sous nos pieds, en dessous du plancher. Les grosses armoires derrière contiennent des énormes rhéostats, et le volant sert à ajuster l'intensité du courant continu et réguler la puissance et les tours moteurs. Gare aux étincelles.....!!!
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On se glisse entre les énormes armoires électriques pour arriver à la cloison étanche suivante, plus légère.
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Compartiment suivant, les diesels !
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Bienvenus dans les enfers.
Ici il faut habituellement très chaud (60°C), très moite, les vapeurs d'huile et de gasoil sont suffocantes et imprègnent la peau de ceux qui y tiennent le quart pendant plusieurs années, et le bruit des gros moteurs diesel 2 temps à turbosoufflante est insoutenable.
Ici le passage bâbord, entre moteur bâbord dont on voit les couvre-culasse à gauche et le moteur central dont on devine le conduit d'échappement soufflé (pour marche au schnorchel) sur la droite.
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Le moteur bâbord, dont on ne voit que la partie supérieure (haut du bloc, culasses et couvre-culasses), tout le bloc moteur et l'arbre de transmission et l'embrayeur étant situés un pont en dessous, sous le plancher, noyé au milieu des auxiliaires (pompes en tout genre, tuyaux, soutes,....)
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Une vue du dessus des moteurs
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Prochaine tranche : compartiment des auxiliaires et quartier des officiers.....
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Pas mal les photos avec ce "petit" appareil et en considérant la difficulté du lieu ; j'aurais au moins une fois vu l'intérieur d'un sous-marin
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On s'échappe de la fournaise par une nouvelle porte étanche
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On arrive sur un tableau de surveillance des auxiliaires. Là on réalise la date de conception du bateau quand on examine les cadrans. Spécificité de la conception russe : les fonds de compteur sont luminescents sous éclairage UV et dans le noir, comme vous le verrez un peu plus loin dans la visite. Ca permet de passer en éclairage rouge avec soutien de tubes fluo UV en conservant une bonne visibilité des afficheurs mécaniques et sans avoir à prévoir des loupiottes partout.
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On arrive maintenant dans une coursive qui dessert les premières zones de vie équipage. Les grilles au sol remplacent des panneaux qui donnaient accès à la galerie technique du pont inférieur et de la cale, abritant les pompes, tuyautages divers et variés des servitures, ainsi que le parc batteries conséquent avec sa ventilation spécifique (dégagements de H2 pendant la charge).
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Ici le carré des officiers.
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Le local crypto, avec la machine à décoder sur le côté droit inspirée des fameuses Enigma nazies.
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Le local transmissions, avec les vieilles baies radio d'époque.
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Prochaine étape : le central
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Pourquoi que tu l'as pas mis dans "reportages" ta visite ? t'en aurais au plus toi, des visites
Bien mis en scène et grave flippant pour moi
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Bah... si un modo veux bien passer tout le sujet en Reportage, je n'y vois aucune objection
L'atmosphère était vraiment très spéciale là-dedans. De tous les bateaux noirs que j'ai visités, je n'avais jamais vu un engin dans un état aussi "authentique". Flippant.....
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Après les dents de derrière, les muscles puis les oreilles hertziennes du bateau, on va entrer dans le cerveau : le Central.
Ici se règlent toutes les questions de navigation (cap, vitesse, tenue de profondeur, autonomie,...) et stratégiques (table à cartes, stratégie de combat, calcul des trajectoires torpilles (les "solutions" de tir) ainsi que le contact vers l'extérieur (périscopes, radar).
Sur la gauche, l'espèce de grosse boule blanche, c'est le gyrocompas 3 axes, qui permet entre autre de naviguer à l'inertie sans être influencé par le champ magnétique terrestre ni les cycles de charge et décharge des batteries qui viennent perturber régulièrement le magnétisme de la coque et des grosses masses métallique du bâtiment.
En face, le siège de l'homme de barre qui étonnamment est placé dos à la marche (?). Sur la droite à tribord, toute la collection de volants de vannes nécessaires à la gestion des ballasts, régleurs, caisses d'assiette AV et ARR, purges diverses et variées, transfert de carburant d'une soute à l'autre, etc.....
Le massif sur la gauche abrite l'ensemble des périscopes, masqués de la lumière ambiante pour ne pas perturber la vue de celui qui est en train d'observer l'extérieur, et séparés de la circulation interne dans le navire.
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Le poste de visualisation des radars, placé sur bâbord et non visible sur la photo précédente.
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Un des postes clés à bord, placé à proximité de l'homme de barre : le contrôle "sec-plonge" --> tous les indicateurs nécessaires à la tenue en plongée du bâtiment : contrôle de l'assiette, de la pesée et de l'immersion du submersible avec des actions sur les caisses de réglage pour ajuster finement la masse du navire en fonction de l'immersion, actions sur les caisses d'assiettes AV et ARR pour mettre en équilibre longitudinal zéro le navire pour qu'il tienne facilement son immersion sans tendance à piquer ou à cabrer, et enfin action sur les barres de plongée AV et ARR (les gouvernes de profondeur) pour agir en dynamique de la même manière qu'un avion. On voit ici l'inclinomètre à bulle (le machin tout en haut en arc de cercle), les répétiteurs d'angle des barres, quelques manos, et les leviers de commandes hydrauliques des barres.
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Dernière modification par Sylvain V (26-08-2010 09:43:44)
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On avance encore un peu, on franchit une nouvelle cloison étanche, et on retrouve à nouveau une coursive.
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Un peu isolé du bruit du central, on trouve le compartiment dédié au serveur sonar. C'est le Zoreille du bord qui passe ici de longues heures à essayer de décrypter ce qu'il entend dans ses écouteurs : bruit de fond de la mer, pollution sonore des "biologiques" (120dB quand on passe sous un banc de crevettes !!!), signature acoustique de navires de surface trahis par leurs moteurs et leurs hélices, chuintement discret d'un autre sous marin en marche électrique (Attention Danger !), trépidations d'une torpille à pleine vitesse (Attention Danger mortel !).
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Pour l'anecdote, un des 2 chiottes du bord.
La consigne était de ne pas s'asseoir sur la cuvette lors des plongées en immersion profonde en dessous de la thermocline ou lors de patrouilles en Atlantique Nord. En effet à cette profondeur la température de l'eau est de -1°C à -2°C, et donc si l'eau de mer ne gèle pas encore il y avait un vrai risque à rester le c..l collé sur le rebord de la cuvette métallique à cause du gel (!). Ca donne une petite idée des conditions de vie à bord : trop chaud d'un côté, trop froid de l'autre
En comparaison du nombre de personnes à bord, il fallait presque prendre son tour pour pouvoir aller se soulager, sans oublier de prévenir le central de tout déplacement de personnel pour compenser la perturbation dans l'assiette du navire en plongée. En condition de combat silence et super-silence, on oublie purement et simplement l'idée même d'y aller car tirer la chasse d'eau est une opération plus complexe qu'il n'y parait et nécessite l'action de pompes bruyantes et pas toujours possible à utiliser en fonction de la profondeur. Un vrai bonheur
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Suite de la visite la semaine prochaine - je suis 'off' jusqu'à lundi
Vous pourrez vous retenir jusque là ?
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On reprend la visite de l'engin, avec une petite incursion dans le quartier des équipages, protégés du cul des visiteurs par des grillages qui n'étaient heureusement pas là lorsque le navire était en opération.
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On passe une dernière cloison étanche, et on arrive au poste torpilles avant, avec les 6 tubes de lancement et tous les équipements de servitude à peu près identiques à ceux des tubes arrières
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Le gros monstre vert avec la tête rouge et blanche c'est une torpille à tête nucléaire. La personne à côté de la torpille donne l'échelle
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Enfin la sortie : on prend l'escalier qui nous fait passer à travers l'ancienne brèche d'embarquement des torpilles pour sortir du bateau et prendre un goulée d'air frais.
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On est sur le pont, devant le massif.
On voit juste devant nous le panneau du sas d'évacuation normal,
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Bye Bye Foxtrot !
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J'espère que la visite vous aura plu
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Mais oui, c'est plaisant surtout que c'est une visite que je ne risque pas de faire
Dommage que le génie humain se focalise plus sur ce genre d'engin que sur autre chose
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Ca malheureusement, depuis l'âge du feu et des pieux en bois durci ....
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Eh beh ............ je le découvre plus que tardivement celui ci
M'a beaucoup plus
Toujours été fasciné par les sous marins ...... allez savoir pourquoi ? ...
M'rci et du partage, Sylvain
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Sympa cette petite visite !
Je me rappelle avoir visité un sous marin une journée, quand j'étais plus petite, et j'avais vraiment eu la trouille de ma vie !
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Il y a des trucs intéressants enfouis dans le forum, quelque part.....
J'en ai d'autres à mettre en ligne, si ça vous branche.
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Bon oui que çà nous branche
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ben oui,je l'avais loupe aussi .....impressionnant!
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